jeudi 22 février 2007
Castor & Castor (II)
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Discographies - Baroque français et tragédie lyrique a suscité :
7 roulades :: sans ricochet :: 3236 indiscrets
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jeudi 22 février 2007
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Discographies - Baroque français et tragédie lyrique a suscité :
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lundi 19 février 2007
Je pensais proposer cet enregistrement comme disque du jour, mais je me rends compte[1] de ce qu'il est tombé dans le domaine public.
Aussi, je vous le propose d'autant plus volontiers. (les artistes et leurs héritiers ne touchent plus rien, simplement l'éditeur qui vend le support - en l'occurrence moi)
Maria Stader, soprane
Marianne Radev, mezzo-soprane
Helmut Krebs, ténor
Kim Borg, basse
Choeurs de la RIAS et de Saint-Hedwige
Orchestre de la RIAS
Le tout dirigé par Ferenc Fricsay.
Enregistrement en monophonie réalisé à la Jesus Christus Kirche de Berlin en 1953.
Publié en 1954, entré dans le domaine public le 1er janvier 2005.
Il existe une seconde version, sur le vif, avec Maria Stader et Oralia Dominguez, qui date de 1960.
Cet enregistrement figure à mon sens parmi les plus grandes réussites de l'histoire du disque, rien de moins. Fricsay dément totalement le caractère théâtral qu'on associe généralement à ce Requiem, de façon sans doute exagérément proverbiale - "L'Opéra de la Mort".
[1] Contrairement à ce que veut l'orthodoxie linguistique, je trouve l'anglicisme "réaliser" tout à fait agréable d'usage.
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Domaine religieux et ecclésiastique - Musique, domaine public - Discographies - Opéra romantique et vériste italien a suscité :
5 roulades :: sans ricochet :: 9027 indiscrets
jeudi 15 février 2007
A été (profondément) mis à jour le 20 août 2009.
A titre de repère : 1878-1934.
Pas vraiment une présentation, son univers est à ce point riche qu'on s'y perdrait. Mais quelques repères parmi les disques existants : oeuvres et interprétations.
Je me prête rarement au jeu discographique ici, par choix. Il me semble qu'il s'agit toujours d'une solution de facilité pour ne pas parler des oeuvres. C'est un badinage agréable, mais peu instructif en fin de compte, à part pour faire impression dans des dîners.
Dans la grotte sur la butte Baccalan où je vis prisonnier du palais enchanté du mauvais mage Sourdis (ennemi mortel du mage blanc Berland), cette fonctionnalité ne me serait guère utile, aussi décochai-je l'option dans le cahier des charges de CSS.
Ici, c'est une motivation bien précise qui me mène à aborder le sujet. Je suis souvent amené à chanter les louanges de Franz Schreker, mais il faut bien reconnaître que le faire en tant que tel ne mène pas bien loin, tant on rencontre de tons différents dans son oeuvre, malgré une certaine homogénéité stylistique.
C'est pourquoi je propose ici quelques repères pour y naviguer en connaissance de cause.
Avec un extrait à savourer pendant la lecture. Michael Gielen et l'Orchestre de la Radio de Berlin, un extrait de Vorspiel einer Drama.
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Discographies - Portraits - Die Gezeichneten (les stigmatisés) a suscité :
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