Après le référencement, il y a plusieurs mois, parmi les coupures de presse d'Armand Arapian, baryton auquel je voue une grande admiration, nous voici à présent embarqués chez Terje Boye Hansen, à cause de cette discrète mention dans ma très enthousiaste recension de Thora på Rimol : une direction vive, fine, poétique, un orchestre comme transporté. Une toute grande interprétation d'une oeuvre majeure.
Certes, J'ai déjà connu référencements plus prestigieux, mais ne nous prétendons pas blasé : il est toujours agréable de voir ses enthousiasmes revenir aux oreilles de ceux qui les
suscitent - surtout que, dans le cas de Terje Boye Hansen, son entreprise ne trouve, très injustement (mais très prévisiblement), guère d'écho dans nos contrées.
A propos, j'espère qu'on nous sortira un jour le Fiskeren de Hjalmar Borgstrøm qu'il a exécuté en 2003 à Oslo.