Carnets sur sol - Commentaires
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fr2018-05-19T23:49:36+02:00daily12018-05-19T23:49:36+02:00L'aventure du plus gros pain de l'histoire du disque - DavidLeMarrec
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2018-05-19T23:49:36+02:00DavidLeMarrecAh, possible que ce soit un mauvais appui. Je n'avais pas les détails, mais la perte d'équilibre est commune avec Parkinson.
Pour les pains en studio, tout dépend du nombre de prises évidemment… ça coûte cher, et lorsqu'il y a des vedettes, peu de dates communes sont disponibles. Pas...
Pour les pains en studio, tout dépend du nombre de prises évidemment… ça coûte cher, et lorsqu'il y a des vedettes, peu de dates communes sont disponibles. Pas toujours possible, si l'orchestre n'est pas assez à l'aise ou si l'œuvre est très longue, de tout reprendre, surtout que les coutures rapiécées ne sont pas forcément plus satisfaisantes.
En revanche, les enregistrements de piano avec des erreurs de lecture, vraiment étonnant que personne ne le fasse remarquer (les majors ont des salariés qui vérifient avec partition que tout soit correct, il n'y a personne qui le fasse ou ait le niveau chez les plus petits labels, peut-être – ou tout le monde s'en moque…). Ils n'ont pas d'amis musiciens, de prof, d'admirateur, de producteur qui ait ouvert la partition ?
Cette histoire des deux pages ne m'évoque rien… Mais effectivement j'ai vu des choses de ce genre, de très bons musiciens célèbres obligés de reprendre plusieurs fois un début qui ne passait soudainement plus…
Et, je le redis, le mystère du clavecin, l'instrument le plus facile à jouer de tous, vraiment, et pourtant celui où j'entends le plus souvent des pains en solo (et jamais en accompagnement…). Peu habitués à la lumière ? Largeur des touches non standardisée qui fait des ravages (sur moi, c'est sûr, mais des artistes de ce niveau ?).]]>L'aventure du plus gros pain de l'histoire du disque - Faust
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2018-05-19T20:34:21+02:00FaustKurt Masur nétait pas un chef calme ! Il s'est à un moment tourné vers les premiers violons et il a cru qu'il posait encore le pied sur le podium, mais, hélas, c'était le vide et il est tombé à la renverse. Il est possible que ce soit lié...Kurt Masur nétait pas un chef calme ! Il s'est à un moment tourné vers les premiers violons et il a cru qu'il posait encore le pied sur le podium, mais, hélas, c'était le vide et il est tombé à la renverse. Il est possible que ce soit lié à son âge et à son état de santé, mais je ne suis pas sûr ! Il aurait fallu que la barre d'appui sur le podium soit plus enveloppante.
Vous avez tout à fait raison pour Véronique Gens qui avait été retenue à temps par sa collègue !
Tout ceci nous éloigne de votre sujet initial. Je reste un peu étonné qu'il puisse y avoir des pains ou des canards dans un enregistrement. Ils peuvent toujours reprendre si c'est en studio. En outre, aux musiciens et au chef s'ajoutent les ingénieurs du son. Pour une prise sur le vif, c'est un peu différent. Mais, l'enregistrement est toujours retravaillé. Il y a aussi les enregistrements qui, normalement, ne devraient pas être diffusés, mais qui le sont quand même contre la volonté des artistes.
Mais, c'est vrai qu'il se passe parfois des choses bizarres. Souvenez-vous de ce récital au cours duquel le pianiste a tourné par inadvertance deux pages. Il a continué imperturbablement jusqu'à ce que le chanteur - que cela faisait d'ailleurs rire ! - lui dise qu'il y avait un léger problème. Le pianiste n'avait pas l'air troublé et il a repris à la page précédente ! Comme il s'agit de deux artistes de qualité, je m'abstiendrai de dire leurs noms.]]>L'aventure du plus gros pain de l'histoire du disque - DavidLeMarrec
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2018-05-19T10:26:55+02:00DavidLeMarrecJe n'étais pas encore dans la région Masur a eu son accident (sans doute lié à sa maladie), dont il a eu, physiquement, des difficultés à se remettre (convalescence longue et mort de toute façon imminente…).
On n'a jamais su exactement ce qu'avait eu Gens (vu l'émoi du public et...
On n'a jamais su exactement ce qu'avait eu Gens (vu l'émoi du public et l'absence apparente de gravité de la chose, ça m'a étonné), probablement une chute de tension ou quelque chose du genre. Ce qui était spectaculaire, c'est que c'était vraiment la fin de l'œuvre, elle chantait « je meurs » – la voix s'est brisée, mais on sentait que c'était le soutien diaphragmatique qui défaillait, pas juste un effet larmoyant : j'ai mis une poignée de secondes à me dire qu'elle poussait très loin l'incarnation, en abîmant la ligne, et même en jouant très fort la mort, vraiment.
Elle n'est d'ailleurs pas tombée sur sa chaise, mais était en train de s'effondrer en avant (la fosse ouverte était à un pas…), seulement rattrapée par sa voisine… Elle a dû se féliciter, ce jour-là, de ne pas avoir trop méprisé les seconds rôles dans les couloirs des loges ! Elle aurait vraiment pu se rompre les os en tombant inerte de cette hauteur.
Ça a d'autant plus cueilli tout le monde qu'elle était dans une forme vocale .uperbe et que rien ne laissait deviner son état. Elle avait dû prendre fortement sur elle pour s'effondrer dans les derniers instants comme cela…]]>L'aventure du plus gros pain de l'histoire du disque - Faust
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2018-05-18T08:48:40+02:00FaustVéronique Gens avait fait un petit malaise nous privant des quelques notes finales du Dante de Benjamin Godard donné à l'Opéra Royal de Versailles. Je présume que ce jour-là, elle ne devait pas être très en forme (physiquement) ou assez...Véronique Gens avait fait un petit malaise nous privant des quelques notes finales du Dante de Benjamin Godard donné à l'Opéra Royal de Versailles. Je présume que ce jour-là, elle ne devait pas être très en forme (physiquement) ou assez fatiguée et elle s'était effondrée, fort heureusement, sur son siège (version de concert).
J'étais au concert au cours duquel Kurt Masur est tombé à la renverse devant le premier rang de l'orchestre au Théâtre des Champs Elysées. Par elles-mêmes, les conséquences de la chute furent limitées. Mais, c'était un homme âgé et en assez mauvaise santé. A ce jour, c'est l'événement le plus dramatique auquel il m'ait été donné d'assister.]]>L'aventure du plus gros pain de l'histoire du disque - DavidLeMarrec
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2018-05-16T22:32:02+02:00DavidLeMarrecMerci, cher Docteur, pour toutes ces élaborations éclairantes !
Je me suis toujours fait la remarque que ce début de la Cinquième de Mahler doit en effet être l'un des plus terrifiants… assez technique, très mélodique, il donne vraiment la mesure de la suite, et sur une trompette,...
Je me suis toujours fait la remarque que ce début de la Cinquième de Mahler doit en effet être l'un des plus terrifiants… assez technique, très mélodique, il donne vraiment la mesure de la suite, et sur une trompette, instrument discutablement fiable, impossible de se cacher, ça ne se maquille pas avec du vibrato comme au violon ou un effet de timbre comme au basson… et le musicien est tellement, tellement seul. Donner tout le caractère à lui seul, sur un instrument à peine chauffé. Ce doit être une terreur indescriptible même pour les musiciens français les musiciens les plus flegmatiques.
Dans le registre des sons intempestifs, le plus spectaculaire que j'aie vu, un percussionniste (baroque, c'était à Versailles, je ne suis plus sûr de l'œuvre – Scylla & Glaucus ?) qui a fait tomber son étal entier de baguettes et mailloches. Il a dû prendre cher à la pause. (Ce n'était pas gênant en réalité, tout l'orchestre jouait, ça n'a rien gâché, et ce n'était que quelques baguettes, rien à voir avec les grands attirails pour jouer du Mahler.)
Et pour le plus original : dans la Sixième de Mahler, le premier coup du Destin qui ébranle le micro sur pied (sans doute à 1000€…) ; le percussionniste hésite un instant, comprend qu'il doit choisir entre sauver le micro et planter son second coup à temps. Assez tranquillement je dois dire, il choisit de jouer sa note. Le micro vécut.
(Mais je crois que vous étiez là…)
Vous avez raison, vive le risque ! (incluant la mort de Véronique Gens sur scène et autres surprises parfois inconfortables)]]>L'aventure du plus gros pain de l'histoire du disque - Faust
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2018-05-13T09:12:27+02:00FaustA la fin de son livre L'orchestre nu publié en 1981, François Dupin a adjoint un lexique, plutôt technique, dans lequel il distingue soigneusement le pain du canard :
Pain :
« Note jouée au mauvais endroit, mais dans un silence, prenant ainsi un énorme...A la fin de son livre L'orchestre nu publié en 1981, François Dupin a adjoint un lexique, plutôt technique, dans lequel il distingue soigneusement le pain du canard :
Pain :
« Note jouée au mauvais endroit, mais dans un silence, prenant ainsi un énorme relief. Différent du canard, le pain peut être fait par tous les musiciens, et soulève l’hilarité dans les répétitions, et la consternation dans les concerts. L’auteur d’un pain doit normalement payer une tournée. »
Canard :
" Note fausse ou mal sortie d'un instrument à vent ; et aussi, plus souvent, la fausse note d'un instrument en cuivre. "
Ceux qui décèlent le mieux ces loupés - grands ou petits -, ce sont les musiciens eux-mêmes.
Vous abordez dans cette remarquable notule un sujet ultra-sensible au sein même des orchestres. L'harmonie est toujours plus exposée que le quatuor. François Dupin écrit : " Lorsque quelqu'un s'est trompé, notamment dans l'harmonie, et qu'un violoniste s'est retourné, il reçoit une bordée d'injures de la part du groupe entier ... ". Il mentionne aussi une erreur d'un timbalier qui, au cours d'une répétition, obligea à reprendre le passage. Certains violons manifestant une certaine impatience, le timbalier leur jeta : " Taisez-vous, les anonymes ! ". Il mettait ainsi le doigt sur la frustration de beaucoup de membres du quatuor de n'avoir pu faire une carrière de concertiste.
Le pain et le canard définis par François Dupin n'épuisent pas complètement le sujet. J'ai vu un percussionniste heurter avec le marteau qu'il utilise lorsque le compositeur a prévu des cloches, non pas une de ces cloches, mais leur support. Je ne suis pas sûr qu'il ait réellement perçu l'effet produit car il avait des bouchons dans les oreilles. Mais, ses collègues sont devenus verts et il a dû en entendre parler après le concert. Où ranger la sonnerie intempestive d'un téléphone portable, non pas d'un spectateur, mais d'un instrumentiste en plein concert ? Rare, mais j'en ai été témoin une fois ! Le pire canard auquel j'ai assisté (il est bien entendu (!) que je laisse de côté tous les pains et canards dont je ne me suis même pas rendu compte !), c'est celui d'un trompette solo au tout début de la 5ème de Mahler. Que faire, alors ?
On peut aussi ajouter le trou de mémoire du concertiste qui va mettre la panique au sein de l'orchestre.
Il n'y a aucune raison d'en vouloir aux instrumentistes. Disons que le spectateur partage avec ceux-ci les risques normaux d'une exécution qui est à chaque fois une recréation de l'oeuvre qui est donnée, ce qui, je crois, est un plaisir incomparable !]]>L'aventure du plus gros pain de l'histoire du disque - DavidLeMarrec
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2018-05-12T21:29:32+02:00DavidLeMarrec@ Faust : Ah oui, pointer du doigt ses camarades, très vilain.
Vous attirez aussi mon attention, par un autre canal, sur la distinction que fait François Dupin, défunt percussionniste à l'Orchestre de Paris, entre pain (fausse note très exposée) et canard (les couacs des vents, je suppose...Faust : Ah oui, pointer du doigt ses camarades, très vilain.
Vous attirez aussi mon attention, par un autre canal, sur la distinction que fait François Dupin, défunt percussionniste à l'Orchestre de Paris, entre pain (fausse note très exposée) et canard (les couacs des vents, je suppose ?).
@ Diablotin : les deux pistes sont dans le sens inverse dans ton article. :) Sans aimer particulièrement le côté mainstream de la version Bernstein (je n'ai jamais trouvé K. Sanderling trop épais – Th., c'est autre choxe –, mais là, en effet, il éclate tout dans une veine toujours aussi combattive, mais plus baroqueuse que postromantique !), je suis beaucoup plus touché par les détachés un peu dégingandés de Zimerman que par la continuité impavide de Gilels… De toute façon, ce pianiste, le son est extraordinaire, oui (et la sûreté d'ordinaire assez absolue), mais tout est tellement lisse et maîtrisé, ça enlève beaucoup de panache aux œuvres jouées, trop de sécurité, aussi bien au sens de la facilité apparente que du sentiment de l'absence de prise de risque.
Merci à tous les deux pour ces apports !]]>L'aventure du plus gros pain de l'histoire du disque - Diablotin
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2018-05-12T16:13:23+02:00DiablotinAh, mais pour ma part, je n'aime pas beaucoup la seconde version... Piano très réverbéré et accompagnement assez touffu et lourd.
Pour info :
• version 1 : Gilels, OP Tchèque, Sanderling, un live de 1958 ébouriffant, où l'encore assez jeune...Ah, mais pour ma part, je n'aime pas beaucoup la seconde version... Piano très réverbéré et accompagnement assez touffu et lourd.
Pour info :
• version 1 : Gilels, OP Tchèque, Sanderling, un live de 1958 ébouriffant, où l'encore assez jeune Gilels, rentrant d'une tournée triomphale en Occident, est d'une liberté de ton et d'une virtuosité vertigineuse -le début est fracassant comme jamais, c'est assez loin du pianiste léonin mais un peu corseté qu'on retrouvera avec Szell-. Jusqu'au milieu des années 60, Sanderling, chef assez rare au disque en définitive, était en effet un chef assez mordant dans Beethoven, il s'est progressivement "klemperisé" ;-) en passant chez EMI.
• version 2 : Zimerman, OP Vienne, Bernstein, DGG.]]>L'aventure du plus gros pain de l'histoire du disque - Faust
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2018-05-11T09:40:26+02:00Faust" A une répétition de ses bien aimés concerts, il y eut dans l'orchestre un moment d'hésitation, de trouble :
- Est-ce que vous vous croyez à l'opéra ? s'écria Habeneck, furibond et se retournant du côté des musiciens, son archet..." A une répétition de ses bien aimés concerts, il y eut dans l'orchestre un moment d'hésitation, de trouble :
- Est-ce que vous vous croyez à l'opéra ? s'écria Habeneck, furibond et se retournant du côté des musiciens, son archet à la main.
Habeneck avait la mauvaise habitude de mettre toujours la salle entière dans la confidence des couacs qui se perpétuaient dans son orchestre. A chaque fausse note, il se retournait, et désignait de son archet le coupable à la vindicte publique."
Charles de Boigne, Petits mémoires de l'opéra (pp. 297-298)
Les biens aimés concerts sont ceux de la Société des concerts du Conservatoire créée par François-Antoine Habeneck en 1828. A l'époque, le chef dirige encore avec l'archet de son violon.
Charles de Boigne poursuit ainsi : " Lorsque son âge et ses manies eurent fini par le rendre impossible, Girard lui a invinciblement succédé. " Narcisse Girard succéda à Habeneck, plutôt contre le souhait de ce dernier ... (mais, à l'époque, ce sont les musiciens qui choisissent eux-mêmes leur chef et Théophile Tilmant, qui avait la préférence d'Habeneck, succédera lui-même, ensuite, à Girard à la tête de la prestigieuse Société des concerts du Conservatoire). De Boigne exagère un peu, car Habeneck est aussi âgé et surtout en très mauvaise santé.
Il n'y a pas (je crois) d'autre témoignage de ces " manies " d'Habeneck, plutôt inimaginables aujourd'hui. Mais, il n'y a pas, non plus, de raison de douter de leur exactitude.
Les exécutions des symphonies de Beethoven par la Société des concerts du Conservatoire à partir de 1828 dans la salle de la rue Bergère à Paris font accourir l'Europe entière ...]]>L'aventure du plus gros pain de l'histoire du disque - DavidLeMarrec
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2018-05-10T16:54:22+02:00DavidLeMarrecBonjour à tous les deux ! (et merci)
Oui, le système solfégique français est très formel (une sorte de maîtrise très mathématique et théorique, là où les Hongrois privilégient la sensation des logiques et l'intégration des instincts, par exemple), pas un hasard si...
Oui, le système solfégique français est très formel (une sorte de maîtrise très mathématique et théorique, là où les Hongrois privilégient la sensation des logiques et l'intégration des instincts, par exemple), pas un hasard si l'Intercontemporain est français. Pour autant, je doute que les pains ne mettent pas tout autant mal à l'aise les musiciens et le public dans les autres cultures, les musiciens les prennent très à cœur en tout cas.
Tout à fait d'accord, lorsqu'ils sont dans un flux et qu'il n'y en a pas partout, ce n'est pas gênant. Et même lorsqu'il y en a partout, ce n'est pas forcément rédhibitoire si le discours prédomine (il y a des fanatiques de Samson François, et pour ma part je trouve l'Elektra de Mitropoulos à Florence, où personne ne parvient à jouer ou chanter ce qui est écrit, complètement convaincante). Mais contrairement aux petits décalages, on remarque forcément les pains.
Ah oui, en effet, sur ton lien, la fusée lorsque le piano reprend, aucune note n'est la bonne ! Mais ce n'est qu'un trait, donc ça ne gêne pas vraiment, même s'il y a un peu de flottement et encore quelques pains dans la partie qui suit. (Juste pour info, pianistiquement, j'aime davantage la première proposition avec le détaché du thème ; en revanche, l'orchestre du second est formidable, c'est du HIP méchant à une époque où ça n'existait pas – le HIP si, le HIP méchant non).]]>L'aventure du plus gros pain de l'histoire du disque - Diablotin
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2018-05-10T07:32:17+02:00DiablotinTrès intéressant et nourrissant pour l'esprit ;-) ! Ça vient aussi confirmer l'attrait des Français pour le solfège comme instrument de torture, de sélection et de critique : ce n'est pas du tout le cas dans les autres systèmes d'enseignement de la...Très intéressant et nourrissant pour l'esprit ;-) ! Ça vient aussi confirmer l'attrait des Français pour le solfège comme instrument de torture, de sélection et de critique : ce n'est pas du tout le cas dans les autres systèmes d'enseignement de la musique en Europe.
Au demeurant, les pains qui s'inscrivent dans le fil du discours ne m'ont jamais gêné, que ce soit lors de récitals pour piano ou à l'opéra -où, par principe, on suit rarement le spectacle avec la partition en main, ça n'est pas vraiment fait pour cela...-.
Si tu vas ici, il y a un pain vraiment magnifique : http://latelierdediablotin.fr/WordPress3/2016/07/les-droles-daleas-du-concert/]]>L'aventure du plus gros pain de l'histoire du disque - Adalbéron
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2018-05-10T01:08:47+02:00AdalbéronMerci ! <3...Merci ! <3]]>L'aventure du plus gros pain de l'histoire du disque - DavidLeMarrec
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2018-05-09T22:26:24+02:00DavidLeMarrecN'est-ce pas ? :)
Content que ça t'ait intéressé / amusé…...
Content que ça t'ait intéressé / amusé…]]>L'aventure du plus gros pain de l'histoire du disque - Andika
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2018-05-09T15:02:51+02:00AndikaLà, je viens en effet de lire et d'écouter dans de bonnes conditions, avec un écran très grand et en effet, c'est marquant :D...Là, je viens en effet de lire et d'écouter dans de bonnes conditions, avec un écran très grand et en effet, c'est marquant :D]]>L'aventure du plus gros pain de l'histoire du disque - Andika
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2018-05-09T01:00:42+02:00AndikaOh quelle merveilleuse notule. J’entends que ça ne va pas dans le second extrait mais il me faut écouter tout cela à tête reposer, et bien mémoriser la partition avant. J’ai besoin d’un écran plus grand que celui de mon iPhone. 😁...Oh quelle merveilleuse notule. J’entends que ça ne va pas dans le second extrait mais il me faut écouter tout cela à tête reposer, et bien mémoriser la partition avant. J’ai besoin d’un écran plus grand que celui de mon iPhone. 😁]]>