Je ne suis pas le seul à mettre un grain d’explicite dans l’allusif.
Avec toi, nul risque que l'allusif se sente seul. :)
Toutefois, j’ai le respect, je ne rajouterai pas un grain, fût-il de moutarde (cela suffirait à déplacer les montagnes, les Pyrénées à 600 km au nord, vérité d’un côté, erreur chez David).
Dieu merci, ce sont là des fictions pour amuser les crédules qui mangent de la crème de sénevé.
Simplement. Let the sunshine in… Ah ! oui ! ce n’est pas une pièce de caractère, mais on sent bien l’émotion : le désarroi de l’ombragé allé avec la volonté moderne (in) et l’espérance dans l’abandon (let).
J’avais pourtant dit que c’était ---
non, je ne le ferai plus.
Allons, allons, votre abandon, lieber Jdm, nous plongerait dans les abîmes infinis d'une déréliction sans remède. Alors que vous avez porté sur les fonds baptismaux l'art de l'allusion qui rend perplexe jusqu'au seul maître de ces lieux après Dieu.
Un petit complément d’information. J’ai entendu, dans les coulisses, que Garnier allait déménager aux arènes de Lutèce. A ciel ouvert !
Miséricorde ! Pourvu que l'angélique Schäfer ne soit pas emportée par le vent !
Je vais faire brûler un peu d’herbe dans le jardin. La nostalgie de l'Antiquité.
L'abus de laurier favorise l'allusion mais nuit gravement à la santé. A consommer prudemment (inch' Allah).
]]>Philippe :
Pour continuer dans la perfidie, plus qu'à ajouter un autre sujet et ils auront inventé l'Opera :-)
Même pas besoin d'ajouter un autre sujet à ces Chansons d'amour (après vérification, c'est bien le titre de la bobine en question) : les Liebeslieder sont choses habituelles. De même que les Festes Galantes.
Et jusqu'à l'idée d'opéra s'inspire de la tragédie grecque.
Alors effectivement, comme tu dis, en plus d'avoir inventé la tragédie grecque, ils ont inventé l'opéra. Je salue les artistes.
Daran erkenn ich Keikobad, und neige mich.
David :
Ah là là, tu détruis tout l'allusif.
Smiley contrit.
Autrement : ;)