dimanche 21 septembre 2008
L'Age d'Or du lied
On le dit souvent par ici, c'est maintenant.
A cause de la diversification des « tubes » (bien plus nombreux que les quelques scies enregistrées jadis), grâce au choix merveilleux que permet le support discographique. Bien sûr. [1]
Mais aussi chez les interprètes, qui se révèlent bien plus concernés par ce qui fait l'essence du genre, à savoir le rapport de la musique au texte, que leurs aînés. (S'il faut généraliser, bien entendu.)
Suite à une question qui nous a été posée, voici les quelques notes informelles d'un embryon de réponse.
Notes
[1] En revanche, la mélodie française, même si elle bénéficie du disque, est interprétée dans un nombre généralement très limité d'oeuvres-phares, plus jamais donnée seule au concert, et très rarement en style ou même avec une diction impeccable.
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Poésie, lied & lieder - Discourir a suscité :
silenzio :: sans ricochet :: 2411 indiscrets