mercredi 31 octobre 2012
Mauvaise humeur
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie En passant - brèves et jeux - Opéra romantique français et Grand Opéra a suscité :
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mercredi 31 octobre 2012
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samedi 27 octobre 2012
http://sallepleyel.fr/francais/concert/12568-orchestre-francais-des-jeunes
Il suffit de voir ce qu'ils écoutent comme musiques actuelles !
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samedi 20 octobre 2012
Alors que les classiqueux s'étripent très souvent sur les choix d'interprètes (où le même peut être tour à tour considéré comme une divinité terrestre ou comme un imposteur même pas amateur), voici un témoignage qui met très bien en évidence l'importance primordiale de la matière musicale, dans les répertoires très écrits (à partir de 1830, disons).
Emile Naoumoff est compositeur, et surtout célèbre comme accompagnateur (tout à fait valable) de musique de chambre ou de mélodie. Et effectivement, du point de vue de l'interprétation, il y aurait beaucoup à redire dans cette pièce virtuose : le son excessivement cassant (impossible d'entendre un thème de façon lyrique), beaucoup de scories (des pans entiers se fourvoient), une limite dynamique dans le forte. A la fin, les accords fortissimo ne sonnent même plus, à cause des attaques brutales - on voit bien au demeurant la crispation de l'avant du bras, en plus de la posture bizarre (lointaine et très basse).
Et pourtant, le résultat est absolument électrique, car l'arrangement qu'il a écrit adapte aux moyens propres du piano ce que l'on entend à l'orchestre (sans forcément en copier les procédés). Cela procure une tension remarquable, peut-être même supérieure à la version originale. Par ailleurs, la répartition du spectre harmonique est idéale, à la fois sur un vaste ambitus et avec un son très dense.
On remarque aussi qu'en tant que compositeur (et auteur de la présente réduction), son usage de la pédale, assez généreux, est extrêmement précis, ce qui permet de procurer une ampleur « symphonique » au piano, sans sacrifier la précision des lignes et des harmonies comme c'est souvent le cas.
Bref, un cas d'école, une preuve éclatante du triomphe du compositeur sur l'interprète !
Chose amusante, on pourrait faire exactement la même démonstration, mais dans le sens inverse, pour les musiques baroques, voire classiques - l'interprète étant, dans le premier cas, co-créateur des rythmes, des mélodies - et même, dans certains cas, des harmonies. Dans ces musiques, une interprétation tiède peut rendre inintéressants des chefs-d'oeuvre, et une appropriation inventive rendre fréquentables d'aimables torchons.
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