Carnets sur sol

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2017-2018 [n°22→n°27] – futurisme pianistique russe, Kosky, Leonore, Mahler 2, Lauréats du Conservatoire…


Un peu accaparé au travail (car, oui, je…), je n'ai pu achever la notule de la semaine à temps. J'espère y parvenir dans les prochaines dizaines d'heures, mais dans l'attente, puisque j'ai comme d'ordinaire posté un mot dans mes antres habituels, voici quelques réactions aux spectacles vus depuis dimanche dernier.

Concert n°22 → Futurisme russe, le meilleur de la muique universelle pour piano (Alexander Ghindin dans Roslavets, Lourié, Mossolov, Miaskovski)

Concert n°23 → Leonore (version I, sans les coupures) de Beethoven par Jacobs (avec une superbe faute d'orthographe non modifiable)

Concert n°24 → Die Zauberflöte de Mozart par la Komische Oper (mise en scène Barrie Kosky), distribution B/impaire

Concert n°25 → Extroardinaire audition de la classe de direction du CNSM (Coriolan de Beethoven, Haydn 95) par les Lauréats du Conservatoire, le concert symphonique de l'année… (ou sur Twitter)

Concert n°26 → Mahler 2 par le Philhar' de Radio-France et Mikko Franck, avec en prime Dorothea Röschmann. (ou sur Twitter)

Concert n°27 → Mendelssohn, Grieg, Ibert, Stravinski par Thomas Hengelbrock, l'Orchestre de Paris, les Chanteurs d'Oiseaux et de jeunes musiciens et chanteurs du CNSM : Walpurgis, Peer Gynt, Bacchanale, L'Oiseau de feu. (ou sur Twitter)

Il faudra aussi que je parle des étonnantes Sonates pour violon & piano de Vainberg / Weinberg entendues à la Ferme du Buisson de Noisiel la semaine passée (avec Laurent Wagschal), mais d'abord, je vais tâcher de livrer la notule due.


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Commentaires

1. Le dimanche 12 novembre 2017 à , par Diablotin :: site

Le Haydn était donc encore mieux qu'avec le Philharmonique Slovaque ;-) ? Il fut un temps, pourtant, où tu semblais croire qu'un orchestre bon déchiffreur était tout-à-fait suffisant pour les symphonies de Haydn... En effet, la 95 est l'une de mes préférées du cycle londonien -que je ne connais pas mieux que ça, au demeurant, mais que je peux apprécier dans l'instant-, au moins pour son premier mouvement et le trio "pour violoncelles", vraiment très agréable aux oreilles !
Je devrais prendre quatre maîtresses et jouer au PMU, ça me pousserait vraisemblablement à aller plus souvent au concert qu'en ce moment :-D !!!

2. Le dimanche 12 novembre 2017 à , par DavidLeMarrec

Bonjour Diablotin !

Cette histoire ne m'évoque rien… J'ai toujours eu un nombre très limité d'interprètes de Haydn qui me convenaient – et j'ai beaucoup souffert à mes débuts pour arriver à compiler une vague intégrale sans passer par les menuets redoutables de Doráti ni les vilaines disparités de timbre de l'orchestre d'Á. Fischer. Ce doit être un vieux troll prononcé au milieu d'une assemblée haydnienne. :) [D'autant que la Philharmonie Slovaque, surtout lorsqu'elle n'est qu'un prête-nom à d'autres orchestres de cacheton, ne m'a jamais bouleversé.]

Attention tout de même aux activités parallèles : dans l'une comme dans l'autre, on perd à tous les coups.

Flatté de voir l'attention avec laquelle tu suis tout ça… :)

La troisième maîtresse te fait coucou.

3. Le dimanche 12 novembre 2017 à , par Diablotin :: site

Si si, c'est sur un forum sûrement bien connu des lecteurs de tes carnets, à l'occasion d'une passe d'armes homérique et teintée de second degré avec l'un de tes plus prolixes et acharnés adversaires ;-) ! Je te concède que ça date un peu...

4. Le dimanche 12 novembre 2017 à , par DavidLeMarrec

Oui, ce doit être un peu ancien et de la franche provocation, parce que je ne crois pas (sauf déformation rétrospective de ma part) que ça ait jamais été mon opinion. :) Mais des fois, le plaisir de la réaction outragée outrepasse complètement le fondement de la remarque, je ne nie pas que ce puisse m'arriver…

En revanche, pour une symphonie de Beethoven ou de Mahler, oui, j'en suis tout à fait convaincu : c'est tellement écrit au cordeau qu'on peut très mal le jouer (pour le premier), le résultat reste exaltant. Et pour le second, dès qu'un orchestre a la virtuosité nécessaire pour ne pas savonner les traits, ça fonctionne toujours très bien. [C'est pourquoi je reste toujours dubitatif devant les appréciations extrêmes sur la nullité d'une version de ces compositeurs : même mal joués, le résultat demeure en général très gratifiant pour l'auditeur.]

Pour Haydn ou Bruckner, c'est une autre affaire.

5. Le dimanche 12 novembre 2017 à , par DavidLeMarrec

(Mis à jour avec les impressions du concert d'hier.)

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