lundi 31 juillet 2006
Scandinavie et Finlande, Pays Baltes... court récapitulatif
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19 roulades :: sans ricochet :: 7788 indiscrets
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lundi 31 juillet 2006
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Pédagogique a suscité :
19 roulades :: sans ricochet :: 7788 indiscrets
Simplement pour signaler cette conférence de Jacques DUPAQUIER à l'Académie des Sciences Morales et Politiques, diffusée sur France Culture parmi tant et tant de conférences parisiennes données à entendre aux provinciaux.
A défaut d'entrer réellement dans le détail, elle donne une idée, à grand traits, des oppositions dans la confection et l'orientation des manuels scolaires sous la IIIe République.
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silenzio :: sans ricochet :: 1941 indiscrets
dimanche 30 juillet 2006
Sur France Culture, diffusion des conférences données par Michel Onfray à l'Université Populaire de Caen cette année.
Ce travail est d'une pédagogie et d'une clarté remarquable, aussi je ne puis qu'en recommander l'écoute à qui ne maîtriserait que vaguement les philosophes du XVIIIe siècle.
En revanche, quelques points de méthode m'ont étonné. Des points qui, je dois le dire, disqualifient en partie la démonstration - à défaut des données factuelles, réellement intéressantes et qui justifient l'écoute quoi qu'il en soit.
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2 roulades :: sans ricochet :: 5813 indiscrets
jeudi 27 juillet 2006
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2 roulades :: sans ricochet :: 4339 indiscrets
Saviez-vous que Google faisait aussi agence matrimoniale ?
Quelqu'un est arrivé ici en tapant la requête "hochzeit DavidLeMarrec".
Déchaîner les foules ainsi. Oui, très flatté je suis.
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4 roulades :: sans ricochet :: 2539 indiscrets
mercredi 26 juillet 2006
Thora på Rimol de Hjalmar Borgstrøm (1864-1925).
Ouverture.
Le sujet est la fin du paganisme et la christianisation de la Norvège, la chute de Håkon Jarl, protégé par son ancienne esclave abandonnée, Thora, terrassé par Olav Trygvason, assassiné par son propre écuyer Kark. Un sujet récurrent chez les dano-norvégiens. Excellent livret en bokmål de Borgstrøm.
On conserve encore une forme à numéros, mais assez libre. La déclamation est l’une des plus belles qu’on puisse trouver, et les interventions des solistes sont ponctuées, commentées par l’orchestre, laissant respirer le drame. Une œuvre incroyablement belle, à rapprocher du Hollandais Volant de Wagner (en plus appaisé, moins dramatique et plus poétique) ou du Weber d’ Euryanthe. Le final du I rappelle d’ailleurs l’ouverture des Meistersinger (Wagner). A mon sens, une œuvre lyrique majeure du répertoire "germanique".
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4 roulades :: sans ricochet :: 9159 indiscrets
mardi 25 juillet 2006
KARKER
Jeg hører DavidLMs Røst, min Herre,
Han taler om sin udenlandske Reise.
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dimanche 23 juillet 2006
Après cette année Mozart-Marais(-Chostakovitch), qui sera au programme ?
Petit tour d'horizon.
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4 roulades :: sans ricochet :: 5020 indiscrets
A ce stade, après quelques menues explications sur la genèse de l'oeuvre, après quelques amusements autour des influences réelles ou fantasmées, reçues ou données par Pelléas, après enfin quelques clefs pour aborder ce livret, principal obstacle à l'appropriation de Pelléas, il est temps de se plonger dans l'oeuvre, et de la découvrir ou la scruter, pas à pas.
Nous reviendrons ensuite, à la lumière de ces études, sur certains principes : motifs symboliques, usage de scènes isolées, leitmotivs (?), part du réel dans Allemonde, déchirures de la symbolique.
Pour l'heure, place à l'oeuvre.
Nous débutons le plus logiquement du monde par la scène 1 de l'acte I, juste après le prélude que nous avions proposé, dans le deuxième volet de la série. L'extrait se termine à la fin de l'interlude qui prépare la scène 2.
[Manifestement, le fichier est un peu lourd pour l'utilitaire, mais vous trouverez l'extrait précis à l'intérieur de l'article.]
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9 roulades :: sans ricochet :: 9977 indiscrets
samedi 22 juillet 2006
Par le Choeur Arnold Schönberg, inégalable dans cette musique. Intégrale en 7 CDs enregistrée en 1995-1996.
Une note un peu plus longue qu'il n'est coutume dans cette section pour aujourd'hui, parce que c'est là l'occasion de parler un petit peu d'oeuvres (on ne se refait pas).
Que dire ? Véritables lieder pour choeurs, avec accompagnement orchestraux larges ou réduits, avec piano ou a capella. Schubert trouve, tout particulièrement dans les choeurs d'homme, son plein potentiel d'émotion harmonique. Pensez donc à O teures Vaterland de Fierrabras (disponible au disque par le même Arnold Schönberg Chor), expression à la fois sublimée esthétiquement - radieuse - et bouleversante de la heimatsehnsucht[1].
Sur de vrais textes consistants (l'intégrale s'ouvre sur Gesang der Geister über den Wassern[2] de Goethe), toute une gamme d'expressions, plus fine encore que collective, doit être trouvée. On est loin des choeurs d'opéra, d'oratorio ou de messe qui présentent des sentiments collectifs assez schématiques. Et comme les textes se montrent plus ambivalents que ceux des Motets de Bach[3], la précision de l'affect doit être encore plus maîtrisée.
{La suite : interprétation et extrait musical commenté.}
[1] « Mal du pays », mais plus littéralement, la mélancolie qui pousse les regards vers le pays natal. Sentiment essentiel du romantisme allemand.
[2] « Chant de l'Esprit planant au-dessus des eaux. »
[3] Chants a capella sur des traductions allemandes de textes sacrés (souvent des psaumes), qui réclament, c'est leur but, d'être parfaitement habités. Un autre grand disque sur lequel il faudra revenir.
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vendredi 21 juillet 2006
On ne chantera jamais assez les louanges de CPO : petits prix, grandes découvertes, bonnes interprétations.
Cette Première Symphonie de Felix Weingartner (par ailleurs l'excellent chef beethovenien que l'on sait) n'est pas une curiosité comme le sont les symphonies de Furtwängler, pas une pierre apportée à la connaissance d'un chef d'orchestre.
Il s'agit véritablement d'une oeuvre de premier intérêt, aux développements amples, au badinage constant, à l'optimisme ravageur ; dépourvue de sirop comme de longueurs, sans cesse aiguillonnant l'auditeur par des nouveautés dans le discours, tout en suivant un parcours dépourvu de bricolage et d'effets ostentatoires.
Une oeuvre qui tranche par sa modestie brillante et le sérieux d'une facture sans austérité. Le terme de postromanique ne sied pas, tant il échappe à l'esprit de prétention - ou, inversement, de pastiche - de l'exercice.
Le Sinfonieorchester Basel (Orchestre Symphonique de Basel[1]), dirigé par Marko Letonja, en offre une interprétation qui dépasse de loin la probité, doté d'un niveau technique et d'un enthousiasme très enviables.
La prise de son parachève la réussite, à la fois d'une grande clarté et légèrement réverbérée pour le confort. Il s'agit d'un SACD (hybride, ainsi que stéréo et multicanal), ce qui explique le prix plus élevé qu'à l'accoutumée. L'intégrale des symphonies de Weingartner est désormais très bien avancée, mais il faut savoir qu'il a également écrit musique de chambre, lieder et opéras !
Ce disque comprend également le poème symphonique König Lear Op.20.
CPO, jusqu'où iras-tu ?
– Jusqu'à la fin de l'intégrale, pardine.
[1] Cité de la Suisse septentrionale, mal connue en France, et dont les toits de la cathédrale portent le même motif polychrome qu'à Vienne.
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Plus le temps passe, plus ce livret, qui m'avait d'abord laissé très dubitatif (sans me faire de religion tranchée, toutefois), m'impressionne insistamment. On peut le lire à cette adresse, mais ayant choisi des versions très intelligibles, ceux qui sont les moins familiers de l'oeuvre auront l'occasion de la découvrir pas à pas.
Le principal obstacle à Pelléas est sans doute son livret, qui peu paraît niais, avec ses répliques simples, ses dialogues désarticulés, son esthétique à ce point épurée qu'elle paraît inexistante. Sans que le sujet (le triangle amoureux) paraisse pour autant bien original.
Il faut donc poser quelques préalables pour mieux en apprécier les saveurs.
Nous sommes d'ordinaire accoutumés à des textes dramatiques qu'on jugera d'une part sur leur efficacité, leur densité, d'autre part sur la qualité de leur langue. Ici, nous sommes dans un paradigme opposé à ces considérations.
Chaque saynète se développe de façon autonome, sans action véritable, étirée, sans nécessairement de tensions (du moins apparentes). Elle est en réalité une unité symbolique qui nourrit l'ensemble de la pièce, nous le verrons plus tard, notamment au moment de commenter plus précisément l'oeuvre.
Quant à la qualité de la langue, elle ne doit pas s'analyser, comme nous le faisons habituellement, au temps T où elle est employée, mais sur l'ensemble du texte, parfois a posteriori. Les métaphores synchroniques - c'est-à-dire qui prennent leur valeur au moment même où elles sont énoncées - sont très rares dans le texte de Maeterlinck, et d'un goût précieux, parfois proche de l'incongru, qu'on peut contester. Mais celles qui fondent l'intérêt du texte sont véritablement diachroniques, parcourant d'échos l'oeuvre tout entière, prenant sens par rapport aux autres occurrences.
Ces métaphores sont en réalité constituées de motifs symboliques simples (la forêt, par exemple), qui viennent éclairer les propos des personnages et les situations, via cette référence.
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2 roulades :: sans ricochet :: 7126 indiscrets
jeudi 20 juillet 2006
Ces oeuvres ont déjà un grand intérêt en elles-mêmes : elles portent la charge de caractère de l'opéra (cette esthétique de la merveille qui est justement bannie du théâtre classique parlé), et représentent un sommet de l'art de la danse qui est à l'oeuvre dans la tragédie lyrique.
Leur individualité et la richesse de l'orchestre chez Rameau font qu'elles se prêtent tout particulièrement à l'exécution en suites.
Frans Brüggen et l'Orchestre du XVIIIe siècle ont enregistré de nombreuses suites instrumentales tirées des opéras de Rameau.
Il faut entendre prioritairement : Castor & Pollux (pour la tension et la volupté) et Dardanus (pour la grâce), mais aussi les imaginatives Indes Galantes. Hélas, ces trois disques sont épuisés (!).
Existent également Les Boréades dans un couplage avec Dardanus (au lieu des 3 Fantaisies de Purcell).
Mais on les trouve aisément en médiathèque (surtout les Indes) et il existe une nouvelle série (chez Glossa et non plus Phillips) que je n'ai pas entendue, mais que je devine très intéressante, comprenant :
La caractéristique du travail de Brüggen tient dans la limpidité des parties, la netteté de la mise en place, la perfection de l'exécution, mais aussi et surtout des couleurs invraisemblables et variées, un sens de la danse (et du tempo !) assez inégalé, une imagination débordante pour la moindre pièce qu'il aborde.
Chaque pièce est caractérisée, ses mérites semblent infiniment exaltés, et la prise de son finit de parachever ce qui tient à la fois du confort et de l'excitation.
Un des plus grands legs instrumentaux du marché, toutes époques confondues. Et qui n'a pas pris une ride. Comparez par exemple le Dardanus avec l'intégrale plus tardive des Musiciens du Louvre. Combien ceux-ci paraissent indolents et gris, en comparaison - et pourtant, Minkowski n'est pas précisément le champion des attitudes compassées et scolaires.
Pour vous faire une idée, la contredanse des Indes Galantes :
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Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Le disque du jour - Baroque français et tragédie lyrique a suscité :
16 roulades :: sans ricochet :: 5604 indiscrets
mercredi 19 juillet 2006
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Autour de Pelléas et Mélisande a suscité :
silenzio :: sans ricochet :: 9221 indiscrets
Inauguration de cette série, pour des conseils d'oeuvres pas toujours très fêtées ou pour des interprétations extraordinaires. Le principe est une incitation à la découverte un peu laconique, en contrepoint des notes plus approfondies.
Une oeuvre d'une grande fraîcheur, d'une profondeur de son voluptueuse, bénéficiant ici des longs phrasés d'Alex Klein et d'un Symphonique de Chicago dégoulinant de bonheur. Tout au plus peut-on regretter que la prise de son et Daniel Barenboim ne soignent pas assez les plans orchestraux, mais quel confort d'écoute !
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Le disque du jour - Vienne décade, et Richard Strauss a suscité :
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Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Autour de Pelléas et Mélisande a suscité :
9 roulades :: sans ricochet :: 7237 indiscrets
lundi 17 juillet 2006
Il faut avoir conscience que, si les choeurs étaient constitués de citoyens, un assez bon niveau de pratique vocale était réclamé. Les acteurs eux-mêmes étaient recrutés d'abord selon leurs qualités musicales !
L'auteur dramatique, quant à lui, écrivait lui-même la musique. Les théoriciens et commentateurs sont hélas trop allusifs pour qu'on puisse savoir exactement ce à quoi ressemblait cette musique - car il nous reste quelques mesures écrites par Euripide ! [1]
Les reconstitutions à ce jour ne sont pas convaincantes. Et ne pourront pas l'être, car notre culture musicale a bien changé, et nous ne pourrions plus percevoir les passions avec la même vigueur - songez qu'à la première parisienne de l' Iphigénie en Tauride de Gluck, tout le monde pleurait dans la salle ! Impensable aujourd'hui, même pour les plus fervents admirateurs de cette musique, je peux le certifier.
Fragment du premier choeur de la tragédie d' Oreste d'Euripide.
[1] Je ne sais pas si ça vous bouleverse autant que moi, mais j'en suis à chaque fois tout retourné.
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Théâtre (musical) grec - Genres - Musique de scène a suscité :
4 roulades :: sans ricochet :: 9176 indiscrets
dimanche 16 juillet 2006
La tragédie grecque est un opéra.
Puisqu'on vous le dit. Mais on va en dire un peu plus quand même.
Sujet de la série : les tragiques grecs et leur lecture (un peu hypocrite) aujourd'hui ; la dimension musicale de la tragédie grecque ; codes divers pour mieux profiter des réussites du genre ; exemples ; questions laissées ouvertes par l'étude.
Le cothurne, une des images privilégiées du cliché tragique.
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Théâtre (musical) grec - Genres - Musique de scène a suscité :
2 roulades :: sans ricochet :: 7854 indiscrets
vendredi 14 juillet 2006
... du Prix Jacques II de Chabannes.
Laurent Gervereau, dans les Matins de France Culture :
La guerre est un phénomène extrêmement violent.
Je crois qu'il fallait avoir le courage de le dire. Merci.
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie En passant - brèves et jeux a suscité :
3 roulades :: sans ricochet :: 2668 indiscrets
mercredi 12 juillet 2006
Après avoir évoqué les quelques points lumineux qui ont sauvé cette soirée bien terne, je ne me sens guère, vous l'aurez noté, de parler des difficultés scéniques et vocales de Gilles Ragon, égaré dans ce rôle, des problèmes de Lola Casariego (technique et diction déjà médiocres pour une étudiante de conservatoire), ou de ceux des choristes solistes (même pas audibles a capella dans un si petit théâtre), des contresens de la mise en décors scène... A quoi bon ? Plutôt que d'égrener des détails pénibles - à écrire et, si jamais ils tombaient ici, cruels à lire -, mieux vaut chanter les louanges de qui séduit, ou proposer des choses plus substantielles.
Sur la liste des louanges en attente, Nicolas Testé dans Ropartz, Jérôme Varnier dans le Requiem de Mozart, Blandine Staskiewicz & Cyril Auvity à nouveau...
Et la liste des oeuvres à commenter, ne l'évoquons même pas.
Aussi, cette seconde partie du compte-rendu ne viendra probablement pas.
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Disques et représentations - Opéra romantique français et Grand Opéra a suscité :
8 roulades :: sans ricochet :: 3320 indiscrets
Plusieurs gros projets (et quelques grosses notes en préparation) ralentissent le rythme de publication ici même. Manière de ne pas délaisser ces pages trop longtemps désertées, j'enfreins ma ligne éditoriale habituelle qui préfère s'intéresser à des sujets autant que possible réutilisables, plutôt sur les oeuvres que sur les représentations.
Un compte-rendu de cette télédiffusion, à une heure ce matin, de l' Enlèvement au Sérail de Mozart à Aix-en-Provence (millésime 2004).
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Disques et représentations a suscité :
2 roulades :: sans ricochet :: 6350 indiscrets
samedi 8 juillet 2006
http://www.google.co.ma/search?hl=fr&q=msn+des+fille+%C3%A0+zaida&meta=
MSN, célèbre messagerie instantanée utilisée par les jeunes pour papoter pendant des heures. Un "tchat" (chez nous, on dit clavardage, ce qui est, vous en conviendrez, tout à fait ravissant) individuel, en somme.
Une faute d'orthographe. Et sur quoi tombe-t-on ? En première réponse, sur un commentaire-piège à moteurs, d'un spammeur, sur un carnet suédois. En seconde réponse, ici même, sur les aventures croisées de Jitka, fille adoptive du guerrier moldave captif Dálibor et de Zaida, favorite déchue mais vertueuse d'un harem turc.
Soit dit entre nous - et je ne l'avance pas parce que je serais vexé par cette requête -, je ne crois pas que Jitka et Zaida soient des filles à perdre leur temps à converser par MSN. Leur promis leur donne trop de soucis, avec quelque raison.
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Intendance a suscité :
silenzio :: sans ricochet :: 2374 indiscrets
Attention ! Proserpine de Lully par Hervé Niquet est diffusé ce soir à vingt heures sur France Musique[s].
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Vaste monde et gentils - Opéra romantique et vériste italien a suscité :
silenzio :: sans ricochet :: 3391 indiscrets
Répertoire des oeuvres jouées et éditées dans le domaine de la tragédie lyrique. Avec de brefs commentaires.
Modèle :
Les compositeurs sont placés par ordre chronologique de carrière.
Les oeuvres et interprétations par ordre chronologique.
L'intérêt est de pouvoir disposer d'un bréviaire sur les oeuvres disponibles, d'un plan pour se repérer.
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Discographies - Genres - Baroque français et tragédie lyrique a suscité :
5 roulades :: sans ricochet :: 9669 indiscrets
mardi 4 juillet 2006
Depuis mon précédent propos sur le sujet, je m'interrogeais sur le rapport à entretenir avec Wikipédia.
Je vous livre mes conclusions.
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Vaste monde et gentils a suscité :
6 roulades :: sans ricochet :: 10427 indiscrets
samedi 1 juillet 2006
Le billet a fait l'objet, comme promis, d'une mise à jour.
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Intendance a suscité :
silenzio :: sans ricochet :: 2073 indiscrets
Eh oui, amis froggies, on oublie que July c'est aussi July.
J'avoue bien humblement m'être laissé prendre en me demandant pourquoi ce carnet d'art en faisait mention - ce qui m'a amené à lire l'article. Froggie un jour...
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie En passant - brèves et jeux a suscité :
silenzio :: sans ricochet :: 2214 indiscrets
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Opéra-comique (et opérette) a suscité :
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