dimanche 27 novembre 2005
Du mauvais goût
Dans la Radioblog. Un hymne patriotique dans ce que le Grand Opéra à la française a de plus pompier. Et c'est l'une des pages les plus réussies de Charles VI , avec quelques ensembles dans la seconde moitié de l'oeuvre, alors on imagine combien le reste est dispensable. Au demeurant, ça rencontre toujours un franc succès, c'est assez bêtement revigorant, et se prête à toutes les adaptations textuelles imaginables. Par choix, je ne l'aurais pas mis en exemple, mais j'avais quelques candidats à la découverte suite à une adaptation...
Je pense que le texte est compréhensible, mais à défaut, je le retranscrirai.
Mathieu Lecroart, baryton qui a fait ses classes dans la baroque, et néanmoins avec une autorité vocale étonnante, débute, puis c'est au tour de Bruno Comparetti, ténor qui fait les beaux jours du Théâtre Impérial de Compiègne.
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Disques et représentations - Opéra romantique français et Grand Opéra a suscité :
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