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[Carnet d'écoutes] Julius RÖNTGEN – Concertos pour violoncelle – Horsch, Porcelijn


Vous aimez « le » concerto pour violoncelle de Dvořák ? En voici trois autres (avec un peu de célesta en prime).


Très joliment interprétés, comme toujours avec ce chef, cet orchestre (et un soliste judicieusement adapté à la couleur de ce répertoire).

Version : Horsch, Symphonique des Pays-Bas, Porcelijn (CPO).


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Commentaires

1. Le jeudi 21 août 2014 à , par Benedictus

Puisque tu en connais un rayon*, j'aurais voulu savoir:

- si les Symphonies, les Concertos pour piano et pour violon (qu'on trouve chez le même éditeur, avec le même chef mais des orchestres allemands) étaient bien aussi;

- à quoi ressemblent les Symphonies de Van Gilse (Porcelijn / Symphonique des Pays-Bas / CPO également).


* Désolé. Pas pu m'en empêcher. (En plus, ils étaient proches parents, non?)

2. Le jeudi 21 août 2014 à , par David Le Marrec

¶ Les Symphonies de Röntgen sont impressionnantes, ne serait-ce que par la prise de son (la Sixième par le même orchestre, oh !). Dans le genre postromantique un peu lisztien, ça se tient très très bien.
Pour les concertos, j'aime bien, ce qui est bon signe, considérant que ce n'est vraiment pas mon genre de prédilection.

Jan van Gilse, c'est ouvertement décadent, plus proche de Rudi Stephan ou de Joseph Marx, mais il lui reste quelque chose de franchement romantique (assez tristanien à vrai dire) qui le rend très accessible et assez jubilatoire. (Considérablement plus intéressant pour moi.)

¶ Et avant que tu me le demandes, il y a aussi Hendrick Andriessen, toujours avec le même orchestre. On est davantage dans les grands aplats spectaculaires (quelque part entre Schjelderup et un zeste de Petersson, avec des poussées de folklorisme plus Dopper), c'est clairement moins discursif et plus figuraliste, mais pas déplaisant du tout. Plus typé vingtième en tout cas.

¶ Pour ceux qui nous liraient, je crois que je peux mentionner notre accord, dans le genre romantique-second-XIXe, pour la générosité simple des symphonies de Sinding, qui progressent non sans panache au sein d'une veine mélodique assez remarquable. Nettement plus intéressant que les piécettes figurales qui l'ont fait rester à la postérité. Cette fois, c'est avec la NDR.

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David Le Marrec

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