dimanche 28 août 2016
Bonne fortune du classique : fora Temer !
Il est des pays où non seulement on est capable de battre des mains pour
accompagner des musiciens en rythme (voire avec de jolis contretemps), où
non seulement on chante juste son hymne national (en France, c'est terrible,
ça détonne toujours au début et sur le refrain, tout le monde braille et
dégringole d'un ton…), mais où de surcroît, lorsqu'on part manifester, on
utilise des thèmes un peu plus raffinés que « nous sommes les Marseillais »
ou « Giscard si tu savais ».
« Fora Temer » (« Dehors Président-par-intérim-du-Brésil ») sur « O Fortuna » des Carmina Burana de Carl Orff.
Ça met un peu la honte – comme tous ces orchestres universitaires où les chefs de pupitre sont systématiquement des Erasmus (allemands, souvent…).
Retrouver les visages de Carl Orff sur Carnets sur sol :
→ Der Mond, opéra (sur le même langage) ;
→ Gisei, das Opfer, opéra (influences debussystes) ;
→ Musique nazie qui tue (simili-hellénismes bizarres pour les jeux de 36).
De rien.
« Fora Temer » (« Dehors Président-par-intérim-du-Brésil ») sur « O Fortuna » des Carmina Burana de Carl Orff.
Ça met un peu la honte – comme tous ces orchestres universitaires où les chefs de pupitre sont systématiquement des Erasmus (allemands, souvent…).
Retrouver les visages de Carl Orff sur Carnets sur sol :
→ Der Mond, opéra (sur le même langage) ;
→ Gisei, das Opfer, opéra (influences debussystes) ;
→ Musique nazie qui tue (simili-hellénismes bizarres pour les jeux de 36).
De rien.
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie En passant - brèves et jeux a suscité :
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