vendredi 21 mars 2008
L'Armide de Lully / Quinault, des fulgurances écrites
Une oeuvre à part : les merveilles qu'on y entend figurent dans la partition et ne sont pas dues au zèle inspiré de recréateurs capables de soutenir à eux seuls des partitions assez dépouillées.
Un rapide point sur la question.
Ce billet, écrit à par DavidLeMarrec dans la catégorie Baroque français et tragédie lyrique a suscité :
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